Au bout du lac de Genève on vit avec cela depuis longtemps. José Alvès a expliqué un jour comment un but valable annulé par un arbitre "étourdi" peut changer la vie d'un entraîneur.
Ce soir, jour d'exploit d'une équipe qui a appris a marqué beaucoup de buts en infériorité numérique et pour cause, on a passé le cap du ridicule.
Un bloc entier de Genevois sur un banc de pénalités et un joueur déjà aux vestiaires parce qu'il n'avait pas plié lors d'un face à face violent, certes mais des plus partagés.
Si on regarde bien les images, on comprend pourquoi Mathieu Carl au début de cette rocambolesque performance arbitrale s'est énervé alors que le reporter du téléclub lui soufflait "de savoir garder ses nerfs".
A 44" du terme du premier tiers, Joël Vermin trébuche sur la cross de Tobias et Kurmann and Co pensent alors livrer les Genevois à la curée.
Les pénalités pleuvent sur les mécontents et le niveau de l'arbitrage est au sommet de son art.
On attend la prochaine émission qui montrera comme ce métier est difficile mais de Manchester à Berne en passant par La Praille dimanche dernier, le Genevois a des doutes, des doutes sérieux...
Et, les Chris, je lève ma gourde à votre santé et à votre grande insoumission.
Merci les gars pour cette belle victoire Le combat continue.
Jean-Pierre Meylan Puplinge
l'arbitrage au sommet
Re: l'arbitrage au sommet
Je trouve qu'il faudrait faire une banderolle "Hier pfifft Kurmann" en réponse à leur "Hier spielt Bärn" .



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