Mc Sorley a bonne vue On l'aime pour ça.
Publié : lun. 18 mars 2013 00:40
McSorley n’est pas un énervé mais un type qui a une très bonne vue.
Dans la voiture vers Berne, nous évoquions la prolongation du sixième match à Genève où nous ne reprochions à Stricker, excellent trois tiers durant, qu’une cross dans des patins genevoi,s, sous son nez, lors de la prolongation du sixième match et non sifflée alors que jusque là l’arbitrage avait été normal et bon.
Cette faute sous ses yeux était si manifeste pour le public de ce côté-là, qu’il avait réagit bruyamment se demandant pourquoi la règle était soudain bafouée. L’un d’entre nous prétendit que les arbitres avaient décidé de ne plus siffler de fautes lors de la prolongation. On veut bien mais les règles ne sont-elles pas immuables. Nous pensions cependant que cet arbitre n’était pas le pire pour le dernier match de la série. Grave erreur.
A Berne, ce samedi 16 mars le match fut tronqué. C’est dommage car les Bernois et les Genevois se sont livrés à un duel très correct tout au long de la série. On peut juste reprocher à Gardner son geste mais ce joueur malgré sa taille est en général respectueux de l’adversaire. Par contre, il a bénéficié avantageusement de l’effet suspensif favorable, son recours fut accepté, il put jouer le dernier match et on s’en souviendra à Genève en d’autres circonstances.
Lors du septième match, devant un public bernois sympa, Stricker faussa la partie n’en déplaise à certains. On fait passer Mc Sorley pour un excité. Je pense que lorsque l’arbitrage ne pose pas de problème, même en cas de défaite, on ne l‘entend pas mais ce Canadien a une bonne vue et ne supporte pas l’injustice comme son pote de Davos.
A Berne, lors de cette septième partie les dés ont été tronqués.
Premier tiers :
Je note au passage qu’on s’emmerde (disons-le) à définir les minutes par ce compte à rebours instauré et aussi ridicule que l’heure d’été imposée à un peuple qui l’a refusée lors d’un vote démocratique.
A 11’37’’(du terme donc), Picard seul devant le but se prend une cross dans les patins, non sifflée.
Le tournant du match, : à 1’40’’du terme du premier tiers, on reprochera à Salmeleinen son indiscipline. Facile quand c’est Monsieur Stricker qui devait donner deux minutes à un Bernois pour une faute (cross dans les patins) que tout le monde a vue sauf curieusement, lui . Honnêteté ? Et Tony notre buteur aimé de retour et en pleine forme passera dix minutes (un tiers du match) sur le banc pour avoir dit son fait à cet arbitre plus que douteux dès lors. Une décision qui plombera les lignes et le match dès le départ. Ça nous rappelle une finale pareillement tronquée, non ?
Mc Sorley le sait.
Deuxième tiers :
A 19’26’’, cross check contre Gerber de Fürrer mais c’est Rivera qui va sortir 2-0 pour une faute anodine. On lève notre gourde à sa santé.
A 12’23’’, surnombre non sanctionné des Bernois
A 10’33’’, coups du 84 néo-bernois , Campbell ,puis de Martin Plüss qui pousse dans le dos et, à nouveau coup de Campbell mais à 10’22’’ c’est Fata qui dans la mêlée qui suit est, lui, expulsé pour cross check et Genève joue à 3 contre 5.
A 6’05, Plüss tient la cross de Friedli qui lui est expulsé, accusé de l’avoir fait tomber et ce sera le 3 à 1.
En sus, deux minutes pour bien assurer le coup à Mc Sorley qui fort justement se plaint.
Troisième tiers :
A 17’49’’, cross de Fürrer dans les patins de Fritsche. Teleclub : « Faute de Fürrer ,l’arbitre laisse jouer ». Friedli, très combattif, appréciera sorti lui plus justement pour la même raison.
Et, le sommet de l’arbitrage, au environ de la 3e minute, d’abord Picard part seul et se prend la cross de Plüss dans les patins, tombe alors qu’il arrivait devant Bührer et alors Fürrer et Collenberg mettent à leur tour leur cross dans les patins d’Almond qui allait mettre le puck au fond et qui va s’écraser contre la bande, son casque s’éjecte et des partenaires le ramènent sur le banc, sonné
Et, l’équipe de Stricker de rester encore étonnamment muette (les Genevois ont cette fois compris). Mais, un bon point à l’excellent et sympa public bernois qui applaudit sportivement le Grenat.
A la tv, le journaliste ne trouve d’abord rien à redire à l’action mais devant les faits fournis au ralenti trouve que l’essentiel c’est qu’Almond s’en sorte. On veut bien mais on ne comprend pas qu’ensuite il s’étonne que Mc Sorley crie dans les oreilles de Stricker. Vol, il y a eu une fois encore.
A 5’49, dégagement d’un puck par un Bernois qui ne touche ni âme ni matière et sort. Stricker reste muet. Les joueurs genevois lèvent les bras au ciel mais Dieu-Stricker a choisi son camp.
OK les gars étaient un peu émoussés peut-être mais cherche des fautes non sifflées dans l’autre sens, tu n’en trouveras pas.
Ce match a été tronqué et Chris a raison de s’énerver. Moi, j’aime qu’il le fasse savoir. L’arbitrage pose problème.
L’an dernier tu perds ou gagnes un titre, travail de toute une saison parce qu’un arbitre juge qu’on peut aller prendre un puck sous le ventre d’un gardien alors qu’un autre aurait sifflé faute avec raison.
Quand tu vois Stricker à Genève lors de la prolongation d’un match hyper correct et bien arbitré jusque là refuser une cross dans les patins manifeste sous ses yeux, tu te poses des questions.
Ne pas voir une faute criante contre Salmeleinen peut arriver mais ensuite alors qu’il s’en est forcément rendu compte infliger dix minutes (un tiers du match) au joueur floué alors que l’adversaire devrait jouer lui en infériorité numérique, c’est malhonnête et ces zébrés sont quatre sur la glace pour sanctionner une telle injustice.
Moi, j’en aime encore plus le sanguin McSorley. Merci de réagir à de telles exactions.
Et merci à toute l’équipe pour de très bons moments cette saison et lors des sept matches passionnants contre cet excellent Berne.
Bonnes vacances les gars et merci. Profitez de la vie.
On lève notre gourde de Gamay à votre santé et on vous souhaite une bonne suite de carrière sportive sanctionnée par des arbitres qui ne plomberont pas votre boulot quotidien.
Jean-Pierre Meylan Puplinge
Dans la voiture vers Berne, nous évoquions la prolongation du sixième match à Genève où nous ne reprochions à Stricker, excellent trois tiers durant, qu’une cross dans des patins genevoi,s, sous son nez, lors de la prolongation du sixième match et non sifflée alors que jusque là l’arbitrage avait été normal et bon.
Cette faute sous ses yeux était si manifeste pour le public de ce côté-là, qu’il avait réagit bruyamment se demandant pourquoi la règle était soudain bafouée. L’un d’entre nous prétendit que les arbitres avaient décidé de ne plus siffler de fautes lors de la prolongation. On veut bien mais les règles ne sont-elles pas immuables. Nous pensions cependant que cet arbitre n’était pas le pire pour le dernier match de la série. Grave erreur.
A Berne, ce samedi 16 mars le match fut tronqué. C’est dommage car les Bernois et les Genevois se sont livrés à un duel très correct tout au long de la série. On peut juste reprocher à Gardner son geste mais ce joueur malgré sa taille est en général respectueux de l’adversaire. Par contre, il a bénéficié avantageusement de l’effet suspensif favorable, son recours fut accepté, il put jouer le dernier match et on s’en souviendra à Genève en d’autres circonstances.
Lors du septième match, devant un public bernois sympa, Stricker faussa la partie n’en déplaise à certains. On fait passer Mc Sorley pour un excité. Je pense que lorsque l’arbitrage ne pose pas de problème, même en cas de défaite, on ne l‘entend pas mais ce Canadien a une bonne vue et ne supporte pas l’injustice comme son pote de Davos.
A Berne, lors de cette septième partie les dés ont été tronqués.
Premier tiers :
Je note au passage qu’on s’emmerde (disons-le) à définir les minutes par ce compte à rebours instauré et aussi ridicule que l’heure d’été imposée à un peuple qui l’a refusée lors d’un vote démocratique.
A 11’37’’(du terme donc), Picard seul devant le but se prend une cross dans les patins, non sifflée.
Le tournant du match, : à 1’40’’du terme du premier tiers, on reprochera à Salmeleinen son indiscipline. Facile quand c’est Monsieur Stricker qui devait donner deux minutes à un Bernois pour une faute (cross dans les patins) que tout le monde a vue sauf curieusement, lui . Honnêteté ? Et Tony notre buteur aimé de retour et en pleine forme passera dix minutes (un tiers du match) sur le banc pour avoir dit son fait à cet arbitre plus que douteux dès lors. Une décision qui plombera les lignes et le match dès le départ. Ça nous rappelle une finale pareillement tronquée, non ?
Mc Sorley le sait.
Deuxième tiers :
A 19’26’’, cross check contre Gerber de Fürrer mais c’est Rivera qui va sortir 2-0 pour une faute anodine. On lève notre gourde à sa santé.
A 12’23’’, surnombre non sanctionné des Bernois
A 10’33’’, coups du 84 néo-bernois , Campbell ,puis de Martin Plüss qui pousse dans le dos et, à nouveau coup de Campbell mais à 10’22’’ c’est Fata qui dans la mêlée qui suit est, lui, expulsé pour cross check et Genève joue à 3 contre 5.
A 6’05, Plüss tient la cross de Friedli qui lui est expulsé, accusé de l’avoir fait tomber et ce sera le 3 à 1.
En sus, deux minutes pour bien assurer le coup à Mc Sorley qui fort justement se plaint.
Troisième tiers :
A 17’49’’, cross de Fürrer dans les patins de Fritsche. Teleclub : « Faute de Fürrer ,l’arbitre laisse jouer ». Friedli, très combattif, appréciera sorti lui plus justement pour la même raison.
Et, le sommet de l’arbitrage, au environ de la 3e minute, d’abord Picard part seul et se prend la cross de Plüss dans les patins, tombe alors qu’il arrivait devant Bührer et alors Fürrer et Collenberg mettent à leur tour leur cross dans les patins d’Almond qui allait mettre le puck au fond et qui va s’écraser contre la bande, son casque s’éjecte et des partenaires le ramènent sur le banc, sonné
Et, l’équipe de Stricker de rester encore étonnamment muette (les Genevois ont cette fois compris). Mais, un bon point à l’excellent et sympa public bernois qui applaudit sportivement le Grenat.
A la tv, le journaliste ne trouve d’abord rien à redire à l’action mais devant les faits fournis au ralenti trouve que l’essentiel c’est qu’Almond s’en sorte. On veut bien mais on ne comprend pas qu’ensuite il s’étonne que Mc Sorley crie dans les oreilles de Stricker. Vol, il y a eu une fois encore.
A 5’49, dégagement d’un puck par un Bernois qui ne touche ni âme ni matière et sort. Stricker reste muet. Les joueurs genevois lèvent les bras au ciel mais Dieu-Stricker a choisi son camp.
OK les gars étaient un peu émoussés peut-être mais cherche des fautes non sifflées dans l’autre sens, tu n’en trouveras pas.
Ce match a été tronqué et Chris a raison de s’énerver. Moi, j’aime qu’il le fasse savoir. L’arbitrage pose problème.
L’an dernier tu perds ou gagnes un titre, travail de toute une saison parce qu’un arbitre juge qu’on peut aller prendre un puck sous le ventre d’un gardien alors qu’un autre aurait sifflé faute avec raison.
Quand tu vois Stricker à Genève lors de la prolongation d’un match hyper correct et bien arbitré jusque là refuser une cross dans les patins manifeste sous ses yeux, tu te poses des questions.
Ne pas voir une faute criante contre Salmeleinen peut arriver mais ensuite alors qu’il s’en est forcément rendu compte infliger dix minutes (un tiers du match) au joueur floué alors que l’adversaire devrait jouer lui en infériorité numérique, c’est malhonnête et ces zébrés sont quatre sur la glace pour sanctionner une telle injustice.
Moi, j’en aime encore plus le sanguin McSorley. Merci de réagir à de telles exactions.
Et merci à toute l’équipe pour de très bons moments cette saison et lors des sept matches passionnants contre cet excellent Berne.
Bonnes vacances les gars et merci. Profitez de la vie.
On lève notre gourde de Gamay à votre santé et on vous souhaite une bonne suite de carrière sportive sanctionnée par des arbitres qui ne plomberont pas votre boulot quotidien.
Jean-Pierre Meylan Puplinge