LEMIEUX66 a écrit : ↑dim. 28 janv. 2018 12:00
Pour conclure, je ne sais pas combien de fois j'ai croisé HQ aux Vernets ou en déplacement, ni combien de fois je lui ai serré la main, pas plus que combien de minutes j'ai discuté avec lui durant toutes ces années mais si on peut clairement lui reprocher certaines décisions et choix stratégiques, sans parler d'une gestion financière plus que douteuse cette saison,
il n'en restera pas moins comme un personnage qui aura compté dans le club et même si sa sortie fut quelque peu "obligée", je continuerai à le saluer comme je l'ai toujours fait.
Il restera surtout le souvenir d'un magnifique
conteur et d'un nullissime
compteur
Je comprends ta légitime fierté d'avoir serré la main et discuté avec l'homme influent qu'il a été au sein du GSHC durant toutes ces années et que tu ressentira toujours la même fierté d'aller le saluer dans le futur si l'occasion se présente mais en ce qui me concerne, pour avoir malheureusement côtoyé de près le même genre de personnage, je ne ressens rien d'autre que de la colère et du mépris à son égard
Ce type a réussi la gageure de plomber le SFC en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire en se retranchant dans un mutisme complet jusqu'au jour où il a fait preuve d'un culot hors norme en allant toquer à la porte du Conseil d'Etat genevois pour demander d'éponger une dette de CHF 7 Mio(sic)...
Le Conseiller d'Etat François Longchamp avait d'ailleurs déclaré à l'époque qu'il croyait à un 'poisson d'avril'... Une réaction qui en disait déjà long !
Au SFC, Quennec a viré des gens biens et qui ne coûtaient pas les yeux de la tête alors qu'il s'était attaché les services de pives ambitieuses et coûteuses tels que Cantaluppi, le fils Favre et Zuberbühler.
Pour revenir au GSHC, Quennec a eu la chance de pouvoir compter sur l'injection d'argent privé qui a permis de continuer à faire vivre le club au plus haut niveau.
En ce qui concerne l'actualité, c'est quand même de la folie des grandeurs de la part de Quennec que d'avoir signé un entraîneur au CV plutôt moyen pour une durée de trois ans à raison de CHF 1 million de salaire annuel
Quennec se fiche bien des dégâts collatéraux dont il porte la responsabilité auprès de nombreuses personnes dont plusieurs de ses ex-employés.
Pour prendre un exemple, il y a 2-3 ans de cela, je me souviens que le responsable de la communication du club était en arrêt maladie et Quennec avait alors déclaré de façon irrespectueuse: "il souffre d'une blessure au haut du corps".
Quennec a été bien plus un fossoyeur qu'un sauveur du SFC et du GSHC !
Sans le double sauvetage de la Fondation 1890, la catastrophique gestion financière de Quennec nous aurait amené le club en 1ère ligue et rien que pour cela, je ne lui pardonnerai jamais.
Et pour terminer, quand tu en arrives à l'exploit de presque couler ton club à cause d'un DÉFICIT (et non pas DETTE) de CHF 8 millions, c'est que tu n'as plus qu'à te casser définitivement d'ici et j'ose espérer qu'il ne sera jamais invité à remettre les pieds aux Vernets
(pour la nouvelle patinoire, il y a encore du temps
)