C'est exactement ça. Le problème c'est en partie le coronavirus, mais en partie aussi les autres malades et/ou blessés. Quand ton système de soin est saturé, aux urgences tu fais le tri et tu ne prends plus que les cas graves, voire en danger de mort immédiat. C'est déjà le cas en Italie.Cole a écrit : ↑mer. 11 mars 2020 21:00Suffit de regarder les rayons de la Mig, les masques qui apparaissent ici et la, le fait que plus personne (ou presque) se serre la main, le langage corporel des gens qui mettent de la distance quand tu passes à coté dans la rue etc pour voir qu'en 3-4 jours certaines choses ont changé.
Et c'est probablement une excellente nouvelle. Le gros du danger vient d'une saturation des antennes de soin. Alors autant on sera tous exposés à cette merde tôt ou tard (Merkel en Allemagne parlait d'un possible 70% de la population SI des mesures n'étaient pas prises) autant il est capital de ralentir au maximum l'épidémie pour que les gens tombent malade "chacun leur tour" et pas en même temps.
Si les gens sont malades petit à petit, tu passes quelques mois difficiles mais le système (social, santé, infrastructures, poplice, ...) survit. Si les gens sont malades tous en même temps, ça ne dure que quelques semaines mais le système n'y survit pas tellement l'impact est dévastateur.
On n'a pas le choix, alors le mieux à faire c'est de se serrer les coudes (au sens figuré hein!) et d'attendre que l'orage passe. Tant pis pour le hockey, ça fait ch***, mais dès septembre, on repartira de plus belle avec ce GSHC qui nous a fait tant rêver et que nous avons ré-appris à aimer cette saison!