[Revue de presse] Uniquement les articles sur GS

[thegoleador]

Belle interview de Gauthier Descloux

https://www.blick.ch/fr/sport/hockey/na ... 89283.html

[FalconFangs]

Petit clin d'oeil à nos Cheerleaders, et en leur souhaitant bonne chance
https://www.20min.ch/fr/story/hockey-ch ... 9237077652

[scoutsh]

https://www.blick.ch/fr/sport/hockey/na ... 96991.html

[FalconFangs]

Genève-Servette impose le protège-cou à ses joueurs

C'est une très bonne chose, mais vu que c'est suite à l'accident sur Hartikainen, je m'attendais plutôt à ce qu'ils imposent les protège-oreilles

[scoutsh]

https://www.blick.ch/fr/sport/hockey/na ... 67260.html

Article sur Filppula et son incroyable carrière.

https://www.blick.ch/fr/sport/hockey/na ... 96745.html

Même là, on est pas en PO !

[scoutsh]

Très bon article de Sieur Carrel, particulièrement le passage sur la LNB qui montre par l’absurde la réalité de notre ligue pain/fromage.
https://lematin.ch/story/sport-commenta ... 9284605519

[Torquemada]

Dans la TDG du jour :

Marc Gautschi: «Le GSHC aura une équipe pour jouer le titre»
Ge/Servette, champion de Suisse et d’Europe en titre, est en vacances depuis samedi soir. Le directeur sportif du club revient sur cet échec sportif et se projette déjà sur la saison 2024-2025.

Le cycle vertueux de Ge/Servette s’est terminé brutalement samedi à Bienne. Après avoir conquis le titre de champion de Suisse et être monté sur le toit de l’Europe en moins de dix mois, le club des Vernets a été bouté hors de la compétition au stade des play-in et ne participera pas aux play-off.

Cet échec sportif ne marque pas que la fin d’une saison, mais bien la fin d’une ère au GSHC. Plusieurs joueurs, dont les étrangers Daniel Winnik (arrivé en 2018) et Valtteri Filppula (arrivé en 2021), vont quitter l’organisation. Quelles seront les perspectives des Aigles en 2024-2025 avec un effectif qui connaîtra quelques modifications? On fait le point avec Marc Gautschi, le directeur sportif.

Quarante-huit heures après l’élimination, quel sentiment prédomine?

Le sentiment de déception était déjà présent avant de commencer les play-in. Terminer la saison régulière au dixième rang était un échec. Maintenant, il est trop tard pour être fâché ou triste, car il aurait fallu réagir avant d’échouer. Les joueurs vont se rendre compte dans les prochains jours qu’ils ont raté une belle occasion de faire mieux que l’an passé.

C’est-à-dire?

Notre objectif était de réaliser le doublé et on possédait l’effectif pour y parvenir. Peu de changements avaient été opérés dans un groupe qui avait survolé le championnat 2022-2023. On savait que ça allait être compliqué mentalement et physiquement de briller dans deux compétitions, c’est pour cela qu’on aurait dû boucler l’exercice régulier dans le top 6, afin de bénéficier de deux semaines de pause.

On a l’impression qu’un cycle vertueux a pris fin à Ge/Servette.

Je ne suis pas d’accord. Plusieurs joueurs, comme Eliot Berthon, Daniel Winnik et Valtteri Filppula, vont certes quitter le club, mais, l’année prochaine, l’équipe sera plus forte. Notre futur contingent nous permettra de nous battre avec les meilleurs. On n’aura pas le droit de revivre un tel échec.

Pourquoi ne pas avoir conservé ces trois joueurs?

Pour les étrangers, c’est une question d’âge. Cette saison, la continuité n’a pas fonctionné, car trop de joueurs ont sous-performé. Il faut parfois du changement afin d’insuffler une nouvelle dynamique.

Vous mettez les joueurs face à leurs responsabilités, mais quelles sont les vôtres dans cet échec?

Ma responsabilité, c’est que je n’ai pas construit une équipe assez forte pour entrer dans le top 6. Je ne veux pointer personne du doigt. Que ce soit les entraîneurs, les joueurs ou moi, on se retrouve tous dans le même bateau et on est tous coupables de cette mauvaise saison.

Depuis votre arrivée au poste de directeur sportif, c’est la première fois que vous allez devoir procéder à autant de changements. Comment abordez-vous cette situation?

Les modifications dans l’effectif étaient planifiées depuis longtemps. Les résultats sportifs n’ont joué aucun rôle. Je ne ressens pas de stress, parce que les choses sont sous contrôle et que je sais que Ge/Servette aura à nouveau une équipe pour jouer le titre.

Le manque à gagner consécutif à cette élimination peut-il chambouler la planification?

C’est évident que ça change quelque chose de n’avoir aucun match de play-off à domicile. Mais on ne planifie pas dans nos budgets d’aller en finale chaque année.

Revenons à l’effectif. Le poste de gardien a été l’un des points faibles, cette saison. Pourtant, vous allez continuer avec le duo Mayer-Descloux.

Il faut être honnête, ils n’ont pas répondu aux attentes. Cependant, le jeu défensif de l’équipe ne les a pas aidés. Ce duo nous a permis de remporter le titre en 2023. Je leur fais confiance. Si ça ne fonctionne pas, on réagira en temps voulu. Mais on ne commencera pas le championnat avec un portier étranger.

En parlant des étrangers, vous allez devoir en trouver en attaque. Avez-vous déjà des pistes? «Blick» en français évoque le nom de Markus Granlund, de Lugano.

Je ne donnerai aucun nom. Je pense avoir l’opportunité d’engager les joueurs que je souhaite depuis longtemps. On communiquera dans les prochaines semaines en fonction de l’avancement des dossiers.

Et pour les prolongations de contrat de Teemu Hartikainen et de Sakari Manninen, comment avancent les négociations?

On va entamer les discussions dans la semaine. Ils se sentent bien à Genève et on veut les conserver, donc je suis assez confiant que l’histoire commune se poursuive.

Jan Cadieux dirigera toujours l’équipe. Sera-t-il sous pression en début de saison?

Dans ce sport, si tu n’es pas le propriétaire, tu es forcément sous pression. Jan Cadieux le sera. Je le serai aussi. Et cela ne sert à rien de le cacher. Le staff possède sa part de responsabilité dans notre échec sportif, mais je leur fais confiance. Ils sont assez intelligents et bosseurs pour analyser, comprendre et trouver les solutions pour tirer le meilleur du groupe qu’ils auront à disposition.

À quel Ge/Servette faudra-t-il s’attendre en 2024-2025?

Des éléments âgés seront remplacés par des plus jeunes. L’équipe mettra en place un jeu plus rapide, plus dynamique et plus offensif. La National League est la ligue la plus équilibrée d’Europe, mais avec l’effectif qu’on aura, le top 6 sera l’objectif minimum.