[Revue de presse] Uniquement les articles sur GS

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Message par Goran McKim » mer. 29 janv. 2014 08:31

Cela devait être une formalité. Mais l’Aigle s’est arrêté de jouer

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... -jouer-tdg

Une leçon d'humilité

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... e-le-matin

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Message par Goran McKim » mer. 29 janv. 2014 11:57

GSHC-Zoug : mais ce n’est pas grave !

http://www.1905.ch/site/index.php/1832- ... -pas-grave

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Message par Goran McKim » jeu. 30 janv. 2014 11:03

«Prolonger avec Ge/Servette était mon objectif numéro un»

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... ero-un-tdg

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Message par Goran McKim » ven. 31 janv. 2014 08:40

Juraj Simek, l’heure du doute et des questions

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... stions-tdg

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Message par Goran McKim » sam. 1 févr. 2014 14:07

Les Genevois de l'ombre

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... e-le-matin

La folle journée des Aigles s’achève en beauté

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... beaute-tdg

Tyranno
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Message par Tyranno » sam. 1 févr. 2014 17:43


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Message par Goran McKim » sam. 1 févr. 2014 18:42

Bienne-GSHC : un match et un échange

http://www.1905.ch/site/index.php/1840- ... un-echange

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Message par Goran McKim » lun. 3 févr. 2014 08:22

En mode «Spengler», les Aigles font un bon pas vers les play-off

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... ay-off-tdg

Les "Grenat" adorent Davos

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... s-le-matin

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Message par Goran McKim » lun. 3 févr. 2014 17:01

Davos-GSHC : des vacances méritées

http://www.1905.ch/site/index.php/1845- ... s-meritees

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Message par Goran McKim » mar. 4 févr. 2014 08:36

Romain Loeffel a digéré son transfert. Il est déjà Genevois

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... nevois-tdg

Goran Bezina : "Ne voir que la cérémonie, non merci !"

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... i-le-matin

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Message par Goran McKim » mer. 5 févr. 2014 16:59

Christophe Bays négocie avec les Aigles

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... aigles-tdg

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Message par graph » jeu. 6 févr. 2014 15:30

Les Genevois à Sotchi (2/4) : Tobias Stephan - Une étoile sous les drapeaux TDG 4 février 2014

Le monde de Tobias Stephan est constellé d’étoiles. Sa première, le dernier rempart de Ge/Servette la découvre lors de son enfance. Son nom? Reto Pavoni. Alors âgé de 5 ans, le petit Tobias n’a d’yeux que pour le portier de Kloten – qui rejoindra les Aigles genevois en 2002 – dont la patinoire n’est qu’à quelques encablures du domicile des Stephan. Magie du hasard, le Zurichois évolue lui aussi devant la cage, avec les copains, quand les grands ne font pas briller leurs lames sur la glace. «Reto, c’est mon idole de jeunesse. Le temps de la merveilleuse épopée de Kloten avec les quatre titres de LNA d’affilée», se remémore le Grenat. Pour ne rien oublier de ce temps révolu, il arbore à l’arrière de son casque un portrait de son modèle. L’hommage est à la hauteur de l’admiration qu’il éprouve pour l’ancien gardien de l’équipe de Suisse aux 193 rencontres internationales.

La der avec Genève-Servette
Aujourd’hui, le temps a filé et Tobias Stephan est devenu grand. C’est désormais lui, la star. Demain, il va décoller pour Sotchi. A 30 ans, le portier zurichois va disputer ses deuxièmes Jeux olympiques avec l’équipe de Suisse. Le joueur des Aigles a la tête dans les nuages à l’idée d’avoir été sélectionné à nouveau pour des JO après ceux de Vancouver, en 2010. «C’est un rêve pour n’importe quel athlète. Mes chances de jouer sont faibles, mais une participation aux JO, cela ne se refuse pas.» En Russie, son accès aux cages sera barré par Jonas Hiller et Reto Berra, tous deux évoluant en NHL, la prestigieuse ligue nord-américaine où se côtoient les meilleurs joueurs du monde et dans laquelle il a évolué durant 11 rencontres avec, comme un clin d’œil du destin, les... Stars de Dallas. «J’ai vécu là-bas une superbe expérience. J’ai beaucoup appris lors de mon passage aux Etats-Unis», précise Tobias Stephan. A vingt-quatre heures de son départ pour Sotchi, le Zurichois revient sur ses années passées à Genève-Servette. Son envol, il l’a pris avec les Aigles un soir de septembre 2009. Depuis, le dernier rempart des Grenat s’est forgé un nom et force le respect; sur et en dehors de la glace. Figure emblématique des Vernets, le portier zurichois a pourtant décidé de quitter les bords de l’Arve à la fin de la saison. Avec Zoug pour nouvelle destination. «Je pars pour me rapprocher de ma famille. Quitter Genève me fait mal au cœur. Les amis sont ici, j’aime cette ville. Ce choix n’a pas été simple», concède Tobias Stephan, voix chevrotante. Un crève-cœur pour lui et pour tous les fans de Genève-Servette, qui le lui avaient fait savoir, banderoles à l’appui, lors d’une rencontre aux Vernets. «C’est le moment le plus touchant de ma carrière au club. J’avais été très ému par leur geste, se souvient-il. Le dernier match à domicile ne va pas être facile à gérer.»

Féru de romans d’espionnage
En dehors de la glace, l’homme est timide. Il aime le calme de son appartement, à Carouge, en compagnie de sa compagne, Melanie. Quand il ne stoppe pas les pucks de ses adversaires, Tobias Stephan n’hésite pas à se plonger dans ses livres. Passionné de romans d’espion nage et historiques, il est un fervent lecteur de l’écrivain gallois Ken Follet. «J’aime apprendre des choses à travers mes lectures», dit-il simplement. L’été, le sportif sort grand les voiles, direction le lac de Neuchâtel sur lequel il se ressource en famille. Au gré du vent, le Zurichois se laisse facilement emporter par un bon match de football. Assidu du championnat anglais, il se réjouit de la Coupe du monde à venir où il voit bien l’équipe de Suisse se qualifier pour les quarts de finale. Tout en jetant un coup d’œil aux résultats de Rooney et Cie. «J’espère qu’ils iront plus loin, mais ça ne va pas être facile», glisse Tobias Stephan. Reste qu’avant les footballeurs, c’est bel et bien aux hockeyeurs de s’en aller briller sous les drapeaux.
Dernière édition par graph le ven. 7 févr. 2014 08:11, édité 4 fois.

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Message par graph » jeu. 6 févr. 2014 15:39

Les Genevois à Sotchi (3/4) : Denis Hollenstein - Une envie, au nom du père... TDG 5 février 2014

On croit souvent que l’ombre est forcément écrasante, que la généalogie est une pesanteur insurmontable, que cette figure du père sera toujours présente, violemment, lourdement. Il n’est déjà pas facile de se faire un prénom. Alors un nom, quand celui-ci a déjà tous les attributs de la gloire... Quand le petit Denis Hollenstein s’est-il rendu compte de tout cela? Il a bien sûr compris très vite que son papa, Felix, n’était pas complètement comme les autres. Il a sans doute mesuré, quand il était haut comme trois pommes, le degré d’effervescence qui entourait ces curieuses prestations : patiner vite, sur cette glace entourée de monde, être acclamé, entendre ce nom, son nom, scandé par des gens transportés de joie à la vue d’une petite rondelle propulsée dans une minuscule cage. Il fallait bien, après cela, que le jeune Denis apprenne à patiner avant de marcher. Pour la légende sûrement. «J’étais tout le temps entre les jambes de mon père, admet-il aujourd’hui. Enfin, quand je le pouvais...» La mémoire a gardé ces images fortes, faites de glace et de liesses. Faut-il y voir le devenir de ce petit Denis? Un destin déjà écrit qui devait fatalement le conduire dans le sillage de ce père formidable, véritable icône du hockey suisse et donc, évidemment, doublement surhomme? «J’ai essayé le football» Il ne le savait pas encore, mais oui, il y avait déjà l’idée d’un avenir tracé, même si aujourd’hui, à 24 ans, il en minimise l’impact. «Mes parents, mon père notamment, ne m’ont jamais incité à faire du hockey, assure-t-il. J’ai essayé le football, mais je n’ai pas trouvé cet esprit de famille qui m’a tout de suite plu dans le hockey, que je pratiquais aussi depuis tout petit. C’était mon choix, en fin de compte... Vous savez, même maintenant, à la maison, quand nous sommes réunis, le hockey n’est pas le sujet de discussion No 1. On parle de tout.» Choix délibéré ou figure imposée, imposante, le sport du papa a pourtant fini par incarner tous les enthousiasmes de ce gamin qui, malgré lui ou pas, voulait se confronter à cette légende paternelle. On ne sait pas trop ce que Felix Hollenstein en a réellement pensé, s’il en a conçu plus de fierté que de crainte. Parce que la barre a été placée haut, très haut. Felix, c’est 650 matches de LNA, 131 sélections en équipe de Suisse (dont 47 buts), le tout sur près de dix-sept ans. Mais aujourd’hui, ce papa a vraisemblablement rangé ses appréhensions. Le fiston est du même bois. Il brille avec Genève-Servette, il joue aussi pour l’équipe de Suisse et il est promis à un bel avenir. Olympique pour l’immédiat, lui qui sera l’un des attaquants phares de la sélection vice-championne du monde qui s’apprête à défendre ses chances à Sotchi. «Je m’attends à vivre un truc énorme, unique, sourit Denis. C’est un honneur pour moi de jouer dans cette sélection. Un rêve aussi, celui du petit Denis de l’époque, qui, c’est vrai, avait son père pour héros. Je me réjouis, il y a une belle ambiance dans le groupe et un bon mélange de différents talents. Donc nous regarderons sur place ce que nous pourrons faire. Je sais qu’après la médaille de vice-champion du monde l’année passée, il y a beaucoup d’attente. A nous de garder la tête froide durant les Jeux...»

Ah, l’émincé de maman...
Pour cela, le Denis explosif, agile, malin, qui griffe la glace redeviendra le Denis plus calme. «En fait, hors hockey, je suis assez casanier, lance-t-il. Enfin, jusqu’à un certain point. Si je reste enfermé trop longtemps, je deviens fou. Alors j’équilibre avec des balades. Avec ma copine. Elle est à Zurich, je suis à Genève, ce n’est pas toujours simple...» Denis dompte alors sa nostalgie. En étant celui qui lit des biographies de sportifs ou de musiciens, qui écoute les Red Hot Chili Peppers et qui n’aura finalement qu’un seul regret à Sotchi: «L’émincé zurichois de ma maman, soupire-t-il déjà. C’est la meilleure du monde, et c’est ce que je préfère manger...»
Dernière édition par graph le ven. 7 févr. 2014 08:17, édité 3 fois.

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Re: [Revue de presse] Uniquement les articles sur GS

Message par graph » jeu. 6 févr. 2014 16:48

Les Genevois à Sotchi (4/4) : Kevin Romy - Un hockeyeur de haut vol TDG 6 février 2014

Kevin Romy, c’est comme une évidence. C’est le geste sûr. La tête relevée. Le regard vif et perçant. Oui, il a tout d’un aigle… Hockeyeur de haut vol, le Neuchâtelois fait à nouveau les beaux jours de Genève-Servette depuis deux saisons. A 29 ans, il donne la pleine mesure de son talent et distribue le caviar à la louche à ses coéquipiers. «C’est un homme qui rend meilleur les autres», commente Chris McSorley, son entraîneur aux Vernets. Comme souvent, avec les sportifs, il faut gratter la carapace. Sous le plastron, il n’y a pas qu’un énième joueur s’évertuant à répéter qu’il prend «les matches les uns après les autres». Kevin Romy est à classer dans la catégorie des hommes de sang-froid dotés d’une belle intelligence. Il dégage sur la glace une forme de sérénité à toute épreuve. «Je suis quelqu’un de calme à la base, dit-il de sa voix grave encore teintée d’un accent fleurant bon La Chaux-de-Fonds. Vous me verrez rarement répondre à une provocation.»

Une insolente facilité
Et pourtant, à force d’«enrhumer» ses adversaires avec une insolente facilité, l’attaquant frise souvent le code. Comment arrêter ce patineur instinctif? Talent pur, il a érigé depuis son plus jeune âge la feinte en art de jouer. Même le béotien saurait reconnaître Kevin Romy au milieu d’une rencontre dont la mécanique peut paraître parfois confuse. C’est lui, le No 88 des Aigles, qui vient de ressortir un puck proprement en laissant derrière lui trois opposants médusés. Il y a quelque chose de chirurgical dans le jeu du Genevois d’adoption. Cette capacité à voir mieux et plus vite que les autres prend racine dans un talent inné, bien sûr. «Le hockey est très vite devenu beaucoup plus qu’un hobby, raconte-t-il. Enfant, j’avais deux rêves: devenir joueur professionnel ou pilote d’avion. J’ai longtemps été indécis. Puis, à l’adolescence, j’ai fait ce choix du hockey.» A 17 ans, il quitte alors sa ville natale pour rejoindre une première fois Ge/Servette et son tout nouveau et bouillant entraîneur, Chris McSorley. Au contact du Canadien, Kevin Romy grandit, s’endurcit. Sa valeur grimpe alors d’un coup et voilà qu’à 20 ans, il est vendu au HC Lugano après deux matches de championnat seulement. Le tintement des espèces sonnantes et trébuchantes, résonne en Ligue nationale A. Le pauvre Kevin Romy est malgré lui l’un des premiers acteurs du hockey business.

Un exil au Tessin
L’exil au Tessin va cependant changer la vie du jeune homme. «C’est là-bas que j’ai pu réaliser mon autre rêve de gosse, souligne-t-il. La vie de hockeyeur nous offre passablement de temps libre. Et c’est ainsi que j’ai pu entreprendre des études pour devenir pilote professionnel. J’ai, depuis plusieurs années, une licence qui me permet de voler quand je le veux.» Les ponts entre ses deux rêves sont nombreux. «Capacité de concentration, sang-froid, rapidité d’analyse, organisation, ce sont des choses que j’ai forcément développées en apprenant le métier de pilote et qui m’ont certainement rendu meilleur en tant que hockeyeur. Mais le plus grand bouleversement vient du fait que c’est dans le cadre de ces cours d’aviation que j’ai rencontré mon épouse.» Homme comblé, jeune papa depuis un mois, Kevin Romy va enfin pouvoir goûter aux Jeux olympiques. «C’est le bonheur total, actuellement, dit-il. Je croise les doigts car j’ai déjà raté deux fois ce grand rendez-vous (ndlr: 2006 et 2010) en raison de blessures. Donc oui, j’ai vraiment hâte d’y être. Car j’avais oublié de vous dire que gamin, en fait, j’avais trois rêves. J’en ai réalisé deux, déjà. Place maintenant au troisième, à Sotchi.» Kevin Romy un jour aux Jeux? Ça a toujours été comme une évidence.

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Re: [Revue de presse] Uniquement les articles sur GS

Message par Goran McKim » mar. 18 févr. 2014 09:00

Daugavins et Romy seront sans pitié lors de leurs retrouvailles

http://www.1905.ch/site/index.php/archi ... ailles-tdg

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