Je suis d'accord, l'argument est fumeux. Surtout pour un "juge pour la sécurité des joueurs", qui porte très mal son nom (mais bon, quand on voit les parodies de sanctions données pour des charges à la tête cette saison, ça n'est plus guère étonnant).gilles74 a écrit :C'est un peu fumeux comme argument. Un choc de l'épaule d'abord sur une autre partie du corps ( je ne vois que épaule contre épaule ) devrait normalement être amorti avant de toucher le visage? Pour un tel dégât, je penche, comme les images le montrent, à un contact direct épaule sur visage. Il y a bien un mouvement vers le haut de l'épaule de Julien Sprunger, et c'est bien ce mouvement qui a frappé la pomette de Daniel...George Bastl a écrit :"Après visionnement, [Stéphane Auger] a décidé que la charge ne visait pas la tête et que l'impact s'est fait sur une autre partie du corps." En gros, selon Auger, Sprunger n'a pas d'abord touché la tête de Rubin, mais ce raisonnement n'exclut pas qu'il n'a pas touché sa tête.grotius a écrit :Faudra quand même qu'on explique comment on peut fracturer la promette de qqun sans lui toucher la tête
Mais bon, on ne peut désormais que prendre acte de cette décision et, pour le public genevois, préparer les tifos et commencer à s'échauffer pour siffler demain Sprunger à chacune de ses apparitions
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): d'un côté, on aurait pu se laisser bercer par le 2-0 dans la série, après un match II spectaculaire, et la perspective de jouer à la maison le match suivant, sans le Top Scorer adverse; au lieu de cela, les boys vont être très motivés et vont y aller à fond. En plus, Sprunger a jusque-là été franchement transparent, c'est pas vraiment lui qui fait peur en face. De l'autre, une suspension vue comme injuste du côté fribourgeois, qui aurait pu ramener ce sursaut d'énergie dont ils auront bien besoin pour renverser la vapeur dans cette série.
