[15.11.2016] GSHC-Bienne

[Goran McKim]

19h45 aux Vernets

[scoutsh]

La roue tourne et au vu de la courbe de performance des Biennois faudra jouer sérieux et trouver le moyen de passer Hiller afin de ne pas être la première équipe à les relancer.
Deux défaites c'est assez pour cette saison !

[scoutsh]

Et devinez sur qui ça tombe le fameux choc psychologique !
Intéressant de voir dans quel état d'esprit seront les Biennois demain soir.

[Droopy]

Schläpfer vient d'être libéré par Bienne.

[cast]

J'espère qu'ils vont pas se reveiller contre nous!!.

Allez un petit prono 4-1 pour nos aigles.
Buts : Gerbe;spalling; loeffel; romy

[lakings]

Schläpfer vient d'être libéré par Bienne.

Ou comment devoir payer des indemnités à un gars que tu aurais pu laisser partir 6 mois plus tôt en touchant un dédommagement... Belle exemple de gestion foireuse XD


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[petrov]

revenons à nos moutons, ou plutôt à l'alignement de gshc pour ce soir ...verrons nous vukovic sur la glace ce soir ? .. voire douay ?

[keith177]

verrons nous vukovic sur la glace ce soir ? .. voire douay ?

Ni l'un ni l'autre d'après TDG
Vuko commotionné à la suite d'un choc avec un junior et Douay a toujours mal au dos.

Ce soir il est important de continuer sur notre bon trend et de creuser/maintenir l'écart avec les viennent ensuite.
Rien d'autre que 3 points.

[scoutsh]

Côté Biel : Tschantré, Joggi et Pedretti absents ce qui n'est pas plus mal. Me semble que les deux premiers scorent trop souvent contre nous et Pedretti a toujours soif de revanche.

[Cole]

Vuko commotionné à la suite d'un choc avec un junior(...)

On aurait pourtant pu imaginer que le junior décède sur le coup alors que Vuko n'aurait pas remarqué l'avoir percuté.

[BigZ]

Vuko commotionné à la suite d'un choc avec un junior(...)

On aurait pourtant pu imaginer que le junior décède sur le coup alors que Vuko n'aurait pas remarqué l'avoir percuté.

Le juniors en question est visiblement un beau bébé lui aussi

[petrov]

Le junior en question : wyniger ou thiry ?

[Fan-1206]

Y'a que moi qui trouve un peu bizarre de préciser que c'est un choc "avec un junior" ? A quoi bon??

[grenat]

En ce début d'automne aux Mélèzes, une supportrice du HCC me glissa à l'oreille (sensible sur ce coup là) qu'elle avait découvert en toi un type bien après une émission TV alors qu'avant elle te détestait plutôt (et là tu y perdais beaucoup car très jolie).
Et moi, en ce début d'automne où certains auraient pu attribuer le Goncourt à cet Hugues Aufray qui ne l'est plus tant que ça, moi, je songeais encore que, toi, Chris McSorley, répondrait un jour à une interview en français. Si !
De plus, un pote supporter m'avait soufflé cet été que Gall ne serait arrivé à Genève-Servette que pour t' apprendre le français.
Mais, quand ma cadette me confia, la semaine dernière, qu'elle n'avait connu que toi, Chris McSorley, comme entraîneur aux Vernets, je me mis à compter les années et à penser que la langue de Molière te resterait à jamais étrangère. On ne t'en veut pas finalement, ça fait partie du personnage qu'on apprécie.
Bon d'accord, tu aurais certes pu faire un effort méritoire comme, au Havre, le coach US Bob Bradley qui se mettait enfin au français en septembre dernier.
Mais bon, tant qu'à choisir on aime mieux quelques victoires car le Bob lui en était alors à 0 match gagné en L2
Et, il y a aussi Unai Emery, cet espagnol arrivé à Paris qui a fait un louable travail pour s'exprimer le plus rapidement possible en français.
Mais, en pays gaulois, l'hôpital se moque parfois cruellement de la charité et de nombreux journalistes de l'hexagone se sont bien gaussés de ses premiers baragouinages, de ses explications tactiques, dans un français encore approximatif, illustrées par des bouteilles d'eau malmenées.
Alors autant éviter toutes ces railleries et persister dans cet anglais sous-titré et, aussi avec ce bel accent de Toronto même si le supporter y perd un peu son latin.
Comme ce Del Curto à Davos, ça nous plaît la continuité McSorley au GSHC même dans les moments difficiles.
On ne voudrait même jamais échanger contre un entraîneur francophone tes coups de gueule mémorables du banc.
On les aime trop et toi parti, ils nous manqueraient beaucoup.
Et tant pis si tes petites piques d'humeur déplaisent tant à cette éminence grise du hockey, fan du LHC.
On a découvert son côté "malinche".
Il fut bien triste lundi dernier celui dont le nom commence par "Ro" et finit par "chette" à mettre des crosses dans les patins d'un autre coach sanguin, coach pourtant déjà à terre, limogé le matin même par le HC Bienne : Kevin Schlaëpfer. L'ambulance en est sortie toute cabossée.
Dur métier que le vôtre même s'il est bien rétribué, on y prend des sacrés coups bas.
En ce début de saison le supporter grenat qui ne dort pas en nous a apprécié la qualité de l'arbitrage, il faut parfois le souligner aussi.
Néanmoins, il lève sa gourde de Gamay à la santé de ce Chris McSorley, de ces Schlaepfer ou Del Curto qui vivent leurs matches, les joues rouges et le verbe haut quand ils sont fâchés sur son banc : la passion c'est ça.
Chris on t'aime par ici

Jean-Pierre Meylan
Plein Champs Puplinge

[JohnnyFritscheJr]

En ce début d'automne aux Mélèzes, une supportrice du HCC me glissa à l'oreille (sensible sur ce coup là) qu'elle avait découvert en toi un type bien après une émission TV alors qu'avant elle te détestait plutôt (et là tu y perdais beaucoup car très jolie).
Et moi, en ce début d'automne où certains auraient pu attribuer le Goncourt à cet Hugues Aufray qui ne l'est plus tant que ça, moi, je songeais encore que, toi, Chris McSorley, répondrait un jour à une interview en français. Si !
De plus, un pote supporter m'avait soufflé cet été que Gall ne serait arrivé à Genève-Servette que pour t' apprendre le français.
Mais, quand ma cadette me confia, la semaine dernière, qu'elle n'avait connu que toi, Chris McSorley, comme entraîneur aux Vernets, je me mis à compter les années et à penser que la langue de Molière te resterait à jamais étrangère. On ne t'en veut pas finalement, ça fait partie du personnage qu'on apprécie.
Bon d'accord, tu aurais certes pu faire un effort méritoire comme, au Havre, le coach US Bob Bradley qui se mettait enfin au français en septembre dernier.
Mais bon, tant qu'à choisir on aime mieux quelques victoires car le Bob lui en était alors à 0 match gagné en L2
Et, il y a aussi Unai Emery, cet espagnol arrivé à Paris qui a fait un louable travail pour s'exprimer le plus rapidement possible en français.
Mais, en pays gaulois, l'hôpital se moque parfois cruellement de la charité et de nombreux journalistes de l'hexagone se sont bien gaussés de ses premiers baragouinages, de ses explications tactiques, dans un français encore approximatif, illustrées par des bouteilles d'eau malmenées.
Alors autant éviter toutes ces railleries et persister dans cet anglais sous-titré et, aussi avec ce bel accent de Toronto même si le supporter y perd un peu son latin.
Comme ce Del Curto à Davos, ça nous plaît la continuité McSorley au GSHC même dans les moments difficiles.
On ne voudrait même jamais échanger contre un entraîneur francophone tes coups de gueule mémorables du banc.
On les aime trop et toi parti, ils nous manqueraient beaucoup.
Et tant pis si tes petites piques d'humeur déplaisent tant à cette éminence grise du hockey, fan du LHC.
On a découvert son côté "malinche".
Il fut bien triste lundi dernier celui dont le nom commence par "Ro" et finit par "chette" à mettre des crosses dans les patins d'un autre coach sanguin, coach pourtant déjà à terre, limogé le matin même par le HC Bienne : Kevin Schlaëpfer. L'ambulance en est sortie toute cabossée.
Dur métier que le vôtre même s'il est bien rétribué, on y prend des sacrés coups bas.
En ce début de saison le supporter grenat qui ne dort pas en nous a apprécié la qualité de l'arbitrage, il faut parfois le souligner aussi.
Néanmoins, il lève sa gourde de Gamay à la santé de ce Chris McSorley, de ces Schlaepfer ou Del Curto qui vivent leurs matches, les joues rouges et le verbe haut quand ils sont fâchés sur son banc : la passion c'est ça.
Chris on t'aime par ici

Jean-Pierre Meylan
Plein Champs Puplinge

Lu et approuvé. Joli billet en l'honneur d'un homme qui pourrait aisément enfiler le costume (costard) de mascotte de notre club. Je préfère largement que les bancs suisses soient peuplés de Del Curto et autres Schläpfer colériques et un brin énervants quand ils sont chez l'adversaire plutôt que de Zeno sous sédatif dont les émotions sont aussi vivantes que les expressions des visages figés des frères Bogdanoff.