Personne ne va bloquer les accès, ça a déjà été dit et répété sur ce topicscoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:31Tant que chacun est libre de suivre ou pas ce mouvement, pas de soucis. Par contre, si l'action consiste à bloquer les accès à la grand tribune comme je l'ai entendu, là c'est vraiment prendre les gens en otage, même pour 2 minutes. Et les IG n'ont aucun droit d'imposer ça.
[26.01.2018] GSHC-Lausanne
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Mon gamin m'a relayé un message qui circule sur les réseaux sociaux et qui parle de bloquer les accès à la grande tribune et à la tribune nord.indy a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:32Personne ne va bloquer les accès, ça a déjà été dit et répété sur ce topicscoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:31Tant que chacun est libre de suivre ou pas ce mouvement, pas de soucis. Par contre, si l'action consiste à bloquer les accès à la grand tribune comme je l'ai entendu, là c'est vraiment prendre les gens en otage, même pour 2 minutes. Et les IG n'ont aucun droit d'imposer ça.
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Alors tu n'as vu qu'une partie du message. Les accès seront probablement "bloqués" symboliquement (et encore, j'en sais pas bien plus), mais une personne qui souhaite rejoindre sa place pourra le faire sans problème.scoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:34Mon gamin m'a relayé un message qui circule sur les réseaux sociaux et qui parle de bloquer les accès à la grande tribune et à la tribune nord.indy a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:32Personne ne va bloquer les accès, ça a déjà été dit et répété sur ce topicscoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:31Tant que chacun est libre de suivre ou pas ce mouvement, pas de soucis. Par contre, si l'action consiste à bloquer les accès à la grand tribune comme je l'ai entendu, là c'est vraiment prendre les gens en otage, même pour 2 minutes. Et les IG n'ont aucun droit d'imposer ça.
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Merci pour la précision.Tonton a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:42Alors tu n'as vu qu'une partie du message. Les accès seront probablement "bloqués" symboliquement (et encore, j'en sais pas bien plus), mais une personne qui souhaite rejoindre sa place pourra le faire sans problème.
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Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Y'aura juste des personnes aux entrées qui feront part du mouvement et proposeront aux gens de ne pas monter en tribune.scoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:34Mon gamin m'a relayé un message qui circule sur les réseaux sociaux et qui parle de bloquer les accès à la grande tribune et à la tribune nord.indy a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:32Personne ne va bloquer les accès, ça a déjà été dit et répété sur ce topicscoutsh a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:31Tant que chacun est libre de suivre ou pas ce mouvement, pas de soucis. Par contre, si l'action consiste à bloquer les accès à la grand tribune comme je l'ai entendu, là c'est vraiment prendre les gens en otage, même pour 2 minutes. Et les IG n'ont aucun droit d'imposer ça.
Aucun blogace juste une incitation.
Faut pas croire tout ce qui se trouve sur les réseaux sociaux.
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Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Pas sûr que Gilles74 apprécie ton postAngus a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 16:22La raison de tout ce fil de discussion concernant la grande difficulté du choix de l'(des) action(s) la(les) plus appropriée(s), est dûe au fait que nous n'avons aucune expérience dans le domaine de par chez nous. Ce n'est pas dans nos confortables habitudes de contester ou de manifester.
Il faudrait prendre conseil auprès de professionnels expérimentés et pour cela, il faudrait traverser la frontière et s'adresser aux organisations ou personnes compétentes en la matière.
On sait bien que contester/manifester/faire la grève (un peu plus que 2' par contre ) est le sport no1 des français dont on pourrait s'inspirer en la circonstance
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Le rang 24 c'est pour les prolos, moi je suis bien plus bas avec la haute, ça devrait aller t'en fait pas.
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Moi je dis avec la moyenne d'âge du forum y vous suffit de monter 2min avant le coup d'envoi pour rater les 2min du match... vous mettez bien 4min à gravir les tribunes
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Bon, allons-y pour me faire incendier...Cole a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 14:14Du tout.raoul1 a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 13:59Totalement d'accordCailen1213 a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 13:48Et puis on peut boycotter autant qu’on veut hein, au final on aura tous payés nos places et Quennec va encore croire qu’on est de son côté tant cet homme donne l’impression de vivre dans une autre galaxie...
Tu payes ta place parce que tu soutiens ton club, ton équipe. Tu boycottes 2 minutes pour protester contre un dirigeant.
Je sais pas ce que vous avez fumé, mais c'est ce qui se fait partout dans des circonstances plus ou moins similaires. Tu vois jamais un stade/patinoire complètement déserté tout le match pour protester. A l'inverse tu verrais jamais un publique qui se respecte ne pas marquer le coup la moindre dans une situation aussi dégueulasse que celle-ci.
De façon plus générale, vu la gravité de la situation, et la nécessité de mettre tous les coups de pression possibles et imaginables à Quennec, je trouve cette discussion autour des "ouin ouin j'ai payé pour 60 minutes de défouloir, pas 58", complètement surréaliste.
L’histoire (essai) du jour :
Jean est directeur de l’Uni d’Onex. Il tire avec lui de multiples casseroles et, par son attitude hautaine et équivoque à bien des égards, en plus de 2-3 trucs pas très catholiques, il a mis en grave péril l’institution dont il a la charge. Les donateurs institutionnels de celle-ci s’en inquiètent, et les politiques commencent à se poser des questions... d’autant plus que des faits identiques semblent s’être passés il y a quelques années, lorsque Jean était en charge de l’Uni du Petit-Lancy.
Lassés de la situation, qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour leur école (en plus d’engendrer une inévitable dépréciation des diplômes obtenus par tous les alumni, celle-ci perdrait son statut de Haute Ecole), sans parler des dégâts collatéraux pour la région, un groupe d’étudiants réfléchit à une action d’envergure pour forcer Jean à démissionner.
Il se dit que les profs n’auraient plus perçus leurs salaires. Le dysfonctionnement général se perçoit clairement au sein de l’institution, rien ne va plus, même le niveau des cours laisse à désirer... Heureusement, on sent que les profs ne baissent pas les bras et qu’ils se battent pour maintenir l’école au niveau des meilleures du pays. Ils comptent sur le soutien des élèves pour réussir dans leur entreprise...
Les discussions au sein du forum de l’école montrent que la quasi totalité des étudiants voudrait que le directeur dégage... pour le bien de tous mais surtout pour assurer la pérennité de l’école ! Un groupe d’étudiants parmi les plus dynamiques du campus envisagent une action pour marquer les esprits. Il s’agit pour eux de faire savoir à Jean qu’il doit s’en aller ! Les profs aiment particulièrement ce groupe d’étudiants, relevant sa motivation exemplaire, son énergie communicative et son esprit créatif...
Les discussions s’animent et, si tous reconnaissent le très bon état d’esprit dont fait toujours preuve ce groupe, des avis divergeants se font entendre... Le désaccord majeur porte sur le fait que pour certains, les profs ne devraient pas être pris en otages dans l’opération. Celle-ci pourrait-elle avoir des conséquences sur les prestations des profs ? Si tel devait-être le cas, le statut de l’école pourrait aussi en subir le contrecoup... Si, ici ou là au sein du groupe d’étudiants dynamiques, des voix s’élèvent, manquant de respect à d’autres étudiants du campus, le ton général est correct. Tous se reconnaissent ensemble comme d’ardants défenseurs de l’école. Malgré celà, aucun consensus n’est trouvé : l’opération « Jean dégage ! » aura donc lieu...
Un jour, une table ronde est organisée au sein du campus (Auditorium Cris McSorley) entre les profs de l’Uni d’Onex et des profs de l’Uni Lausanne. Le thème du débat est le suivant : quelle école bénéficie des meilleurs profs ! Il faut noter que le statut de Haute Ecole de chacune des parties dépend de l’issue du débat (encore une décision discutable de la Berne fédérale) ! Celui-ci verra, sur l’estrade, face à face, 2 groupes de profs prêts à débattre sur le thème choisi, avec l’envie de montrer son engagement pour son école... Chacun a peaufiné son argumentaire de manière à prendre le dessus sur le camp adverse.
A l’heure dite, tout le monde est prêt sur l’estrade. Par contre, l’Auditorium (500 pers.) est vide... Enfin presque, quelques journalistes et... Jean et des acolytes sont présents ! Le groupe d’étudiants dynamiques a choisit de bloquer l’entrée de l’Auditorium les 2 premières minutes du débat... Il s’agit pour eux de dire à Jean de foutre le camp !... Après les présentations d’usage, la parole est donnée aux profs d’Onex qui, déstabilisés, bafouillent, paniquent même (se sont pourtant des pros...) et perdent clairement le 1er round face aux arguments des lausannois. Ils auraient aimés avoir (voir) l’appui de leurs élèves... Ils se sont sentis abondonnés (ont-ils dit par après). Alors que l’Auditorium se remplit, on sent nos profs perturbés. Ils lâchent encore quelques points sous la diatribe des meilleurs d’en face ! Merde, on va pas perdre comme ça ?...
C’est là qu’a eu lieu le tournant du débat ! Le groupe d’étudIants dynamiques a mis une telle ambiance que ça a modifié l’issue de la confrontation. Les chants ont résonnés comme jamais aux oreilles des profs, leur donnant une force incroyable, gagnant tous les rounds suivants. L’issue du débat ne faisant plus aucun doute, Jean s’est levé sous les broncas de l’assemblée...
La fin de l’histoire pourrait être multiple, je laisse le soin à chacun de la faire sienne Espérons juste que l’Uni d’Onex puisse conserver son statut de Haute-Ecole. Quand au sort de Jean...
La morale de l’histoire pourrait aussi être multiple, je vous propose la mienne : il s’en est fallu de peu pour que l’opération mise en place nuise plus aux profs et à l’école qu’à Jean. Mais le dynamisme du groupe d’étudiants a su donner aux profs la force de gagner le débat, auquel Jean ne participait pas !
Fin de l’histoire
PS 1 : p***** là j’en ai vraiment trouvé de la bonne
PS 2 : cloué au lit par la grippe (j’ai donc eu le temps de délirer) je ne pourrai pas aller à l’Auditorium et je me rabattrai sur titulaire.ch. Ce sera aussi bien !
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Quoi c’est trop long Mais non, c’est juste un peu compliqué
Re: [26.01.2018] GSHC-Lausanne
Si jamais tu veux consulter, je peux te faire un prix tu sais mon cher John.John Doe a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 17:21Bon, allons-y pour me faire incendier...Cole a écrit : ↑ven. 26 janv. 2018 14:14Du tout.
Tu payes ta place parce que tu soutiens ton club, ton équipe. Tu boycottes 2 minutes pour protester contre un dirigeant.
Je sais pas ce que vous avez fumé, mais c'est ce qui se fait partout dans des circonstances plus ou moins similaires. Tu vois jamais un stade/patinoire complètement déserté tout le match pour protester. A l'inverse tu verrais jamais un publique qui se respecte ne pas marquer le coup la moindre dans une situation aussi dégueulasse que celle-ci.
De façon plus générale, vu la gravité de la situation, et la nécessité de mettre tous les coups de pression possibles et imaginables à Quennec, je trouve cette discussion autour des "ouin ouin j'ai payé pour 60 minutes de défouloir, pas 58", complètement surréaliste.
L’histoire (essai) du jour :
Jean est directeur de l’Uni d’Onex. Il tire avec lui de multiples casseroles et, par son attitude hautaine et équivoque à bien des égards, en plus de 2-3 trucs pas très catholiques, il a mis en grave péril l’institution dont il a la charge. Les donateurs institutionnels de celle-ci s’en inquiètent, et les politiques commencent à se poser des questions... d’autant plus que des faits identiques semblent s’être passés il y a quelques années, lorsque Jean était en charge de l’Uni du Petit-Lancy.
Lassés de la situation, qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour leur école (en plus d’engendrer une inévitable dépréciation des diplômes obtenus par tous les alumni, celle-ci perdrait son statut de Haute Ecole), sans parler des dégâts collatéraux pour la région, un groupe d’étudiants réfléchit à une action d’envergure pour forcer Jean à démissionner.
Il se dit que les profs n’auraient plus perçus leurs salaires. Le dysfonctionnement général se perçoit clairement au sein de l’institution, rien ne va plus, même le niveau des cours laisse à désirer... Heureusement, on sent que les profs ne baissent pas les bras et qu’ils se battent pour maintenir l’école au niveau des meilleures du pays. Ils comptent sur le soutien des élèves pour réussir dans leur entreprise...
Les discussions au sein du forum de l’école montrent que la quasi totalité des étudiants voudrait que le directeur dégage... pour le bien de tous mais surtout pour assurer la pérennité de l’école ! Un groupe d’étudiants parmi les plus dynamiques du campus envisagent une action pour marquer les esprits. Il s’agit pour eux de faire savoir à Jean qu’il doit s’en aller ! Les profs aiment particulièrement ce groupe d’étudiants, relevant sa motivation exemplaire, son énergie communicative et son esprit créatif...
Les discussions s’animent et, si tous reconnaissent le très bon état d’esprit dont fait toujours preuve ce groupe, des avis divergeants se font entendre... Le désaccord majeur porte sur le fait que pour certains, les profs ne devraient pas être pris en otages dans l’opération. Celle-ci pourrait-elle avoir des conséquences sur les prestations des profs ? Si tel devait-être le cas, le statut de l’école pourrait aussi en subir le contrecoup... Si, ici ou là au sein du groupe d’étudiants dynamiques, des voix s’élèvent, manquant de respect à d’autres étudiants du campus, le ton général est correct. Tous se reconnaissent ensemble comme d’ardants défenseurs de l’école. Malgré celà, aucun consensus n’est trouvé : l’opération « Jean dégage ! » aura donc lieu...
Un jour, une table ronde est organisée au sein du campus (Auditorium Cris McSorley) entre les profs de l’Uni d’Onex et des profs de l’Uni Lausanne. Le thème du débat est le suivant : quelle école bénéficie des meilleurs profs ! Il faut noter que le statut de Haute Ecole de chacune des parties dépend de l’issue du débat (encore une décision discutable de la Berne fédérale) ! Celui-ci verra, sur l’estrade, face à face, 2 groupes de profs prêts à débattre sur le thème choisi, avec l’envie de montrer son engagement pour son école... Chacun a peaufiné son argumentaire de manière à prendre le dessus sur le camp adverse.
A l’heure dite, tout le monde est prêt sur l’estrade. Par contre, l’Auditorium (500 pers.) est vide... Enfin presque, quelques journalistes et... Jean et des acolytes sont présents ! Le groupe d’étudiants dynamiques a choisit de bloquer l’entrée de l’Auditorium les 2 premières minutes du débat... Il s’agit pour eux de dire à Jean de foutre le camp !... Après les présentations d’usage, la parole est donnée aux profs d’Onex qui, déstabilisés, bafouillent, paniquent même (se sont pourtant des pros...) et perdent clairement le 1er round face aux arguments des lausannois. Ils auraient aimés avoir (voir) l’appui de leurs élèves... Ils se sont sentis abondonnés (ont-ils dit par après). Alors que l’Auditorium se remplit, on sent nos profs perturbés. Ils lâchent encore quelques points sous la diatribe des meilleurs d’en face ! Merde, on va pas perdre comme ça ?...
C’est là qu’a eu lieu le tournant du débat ! Le groupe d’étudIants dynamiques a mis une telle ambiance que ça a modifié l’issue de la confrontation. Les chants ont résonnés comme jamais aux oreilles des profs, leur donnant une force incroyable, gagnant tous les rounds suivants. L’issue du débat ne faisant plus aucun doute, Jean s’est levé sous les broncas de l’assemblée...
La fin de l’histoire pourrait être multiple, je laisse le soin à chacun de la faire sienne Espérons juste que l’Uni d’Onex puisse conserver son statut de Haute-Ecole. Quand au sort de Jean...
La morale de l’histoire pourrait aussi être multiple, je vous propose la mienne : il s’en est fallu de peu pour que l’opération mise en place nuise plus aux profs et à l’école qu’à Jean. Mais le dynamisme du groupe d’étudiants a su donner aux profs la force de gagner le débat, auquel Jean ne participait pas !
Fin de l’histoire
PS 1 : p***** là j’en ai vraiment trouvé de la bonne
PS 2 : cloué au lit par la grippe (j’ai donc eu le temps de délirer) je ne pourrai pas aller à l’Auditorium et je me rabattrai sur titulaire.ch. Ce sera aussi bien !
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