C'est pas le but de la fondation d'injecter de l'argent dans le club. Avec une meilleur image, on risque d'avoir un retour de certains sponsors ou l'arrivée de nouveaux mais c'est pas la fondation elle même qui va mettre la main à la poche pour monter le budget. Ils effaceront probablement les dettes chaque année comme c'est le cas pour la plupart des clubs de ligue nationale, mais ils vont d'abord chercher l'équilibre.Cole a écrit : ↑mer. 21 févr. 2018 12:17... le temps que le projet immobilier se fasse en tout cas. Parce que sans club, pas de projet. On appelle parfois pudiquement "investisseurs" ceux qui ne sont en réalité que de généreux mécènes qui ont à cœur l'intérêt du club. Dans le cas présent je crois que ce sont réellement des investisseurs au sens premier du terme. Eux étaient prêts à s'assurer qu'on ne sombre pas avant d'arriver dans des mains solides (1890), ceci fait je doute qu'ils injectent quelque chose pour que l'équipe soit plus compétitive.
C'est autour de et à travers 1890 qu'un éventuel joli budget se dessinera.
Par contre je cite l'article de Gall de juillet passé:
"Perspectives pour Ge/Servette
Ces investisseurs qui vont porter le projet du Trèfle-Blanc ont tout intérêt à voir une équipe de Genève-Servette très performante sur la glace. Une équipe qui attirera du monde et qui, à tout prendre, doit jouer les premiers rôles. Est-il prévu que ces investisseurs mettent aussi la main au porte-monnaie pour doper le budget du club? «C’est drôle que vous me parliez de ça, sourit Peter Gall. Nous en avons justement discuté il y a peu. Pour cette saison, le budget est déjà bouclé. Mais on peut s’attendre à une aide ponctuelle. Après, quand la deuxième phase du projet 100% privé sera validée, oui, il est déjà prévu une augmentation substantielle du budget, sous forme de sponsoring, pour la saison 2018-2019. Si tout déroule comme prévu, cela peut aller très vite en fait.»"