un Trèfle blanc un Chou blanc et un Didier
Publié : ven. 5 janv. 2018 03:14
Trèfle blanc ou... Chou blanc ?
A Genève, au football comme au hockey, on suivrait les pas d'un fils de conseiller d'Etat, Patrick W. qui en est à onze faillites en 25 ans ? (si)
Comme quoi, il y aurait toujours l'espoir de renaître de ses cendres comme le phoenix...
On vit donc dans un canton où l'avenir reste ouvert pour ceux qui coulent nos monuments.
Gilbert Albert et tous ses collaborateurs pensant à un des adieux au Servette FC, ne diraient pas le contraire, non ? Triste
Les joueurs du GSHC, eux, continuent et on les suit.
Mardi, on a même aimé cette bonne reprise après la pause.
Un but immédiatement vu suspect pour une crosse trop haute avant de le vérifier à la video, en exemple, pour avoir apprécié, aussi, un très bon quatuor arbitral lors de ce premier match de 2018, ce GSHC - Langnau avec ses hauts et ses bas.
On a pris de bonnes résolutions pour 2018 et on tient donc à relever, vraiment, ce bon arbitrage.
Et aussi, parmi eux, un chanceux puisqu'on a repéré une supportrice fidèle qui se manifeste en tribune à chacun de ses matches, arborant un maillot zébré floqué de son 93
Cette aficionada fera-t-elle des émules ?
Verra-t-on prochainement des chandails floqués au nom de Didier Massy en tribune aux Vernets ?
Des maillots au nom de Jaccottet à la Praille ?
Si on ne va pas jusque là, on peut au moins au passage souhaiter bon annif à Didier Massy qui glisse, de Bienne, hier en Coupe, à aujourd'hui, 5 janvier, vers un an de plus.
De 77 son numéro de hockeyeur dans un club du lac de Genève en passant par le 22, son blaze arbitral, ce 55 ans ça doit lui plaire.
Ça le fait vraiment.
Bravo et respect (même si ça énerve le Grenat qui ne dort pas en toi mais patine quand même moins bien que lui)
Et nous, au bout du lac, on profite de l'instant pour lever encore une fois notre gourde à la nouvelle année, au "Trèfle Blanc" ... ou possible "Chou Blanc" et, à toute cette équipe qu'on aime, qui se bat de Simek à Rubin en passant par Vuko and co sans parler du chouchou de ma fille, Goran (merci les gars)
On veut encore savourer.
On va donc aller vous soutenir à Bienne, dans une patinoire bien conçue, avec dans le voisinage, une petite digression au Rebstock local, où on nous accueille si bien et y absorber, au passage, pour digérer la charbonnade et, surtout, les finances du club, un petit remontant.
Une poire Williams que Louis XI avait réclamée pour le guérir sur son lit de mort ?
Jean-Pierre Meylan
Plein Champs Puplinge
A Genève, au football comme au hockey, on suivrait les pas d'un fils de conseiller d'Etat, Patrick W. qui en est à onze faillites en 25 ans ? (si)
Comme quoi, il y aurait toujours l'espoir de renaître de ses cendres comme le phoenix...
On vit donc dans un canton où l'avenir reste ouvert pour ceux qui coulent nos monuments.
Gilbert Albert et tous ses collaborateurs pensant à un des adieux au Servette FC, ne diraient pas le contraire, non ? Triste
Les joueurs du GSHC, eux, continuent et on les suit.
Mardi, on a même aimé cette bonne reprise après la pause.
Un but immédiatement vu suspect pour une crosse trop haute avant de le vérifier à la video, en exemple, pour avoir apprécié, aussi, un très bon quatuor arbitral lors de ce premier match de 2018, ce GSHC - Langnau avec ses hauts et ses bas.
On a pris de bonnes résolutions pour 2018 et on tient donc à relever, vraiment, ce bon arbitrage.
Et aussi, parmi eux, un chanceux puisqu'on a repéré une supportrice fidèle qui se manifeste en tribune à chacun de ses matches, arborant un maillot zébré floqué de son 93
Cette aficionada fera-t-elle des émules ?
Verra-t-on prochainement des chandails floqués au nom de Didier Massy en tribune aux Vernets ?
Des maillots au nom de Jaccottet à la Praille ?
Si on ne va pas jusque là, on peut au moins au passage souhaiter bon annif à Didier Massy qui glisse, de Bienne, hier en Coupe, à aujourd'hui, 5 janvier, vers un an de plus.
De 77 son numéro de hockeyeur dans un club du lac de Genève en passant par le 22, son blaze arbitral, ce 55 ans ça doit lui plaire.
Ça le fait vraiment.
Bravo et respect (même si ça énerve le Grenat qui ne dort pas en toi mais patine quand même moins bien que lui)
Et nous, au bout du lac, on profite de l'instant pour lever encore une fois notre gourde à la nouvelle année, au "Trèfle Blanc" ... ou possible "Chou Blanc" et, à toute cette équipe qu'on aime, qui se bat de Simek à Rubin en passant par Vuko and co sans parler du chouchou de ma fille, Goran (merci les gars)
On veut encore savourer.
On va donc aller vous soutenir à Bienne, dans une patinoire bien conçue, avec dans le voisinage, une petite digression au Rebstock local, où on nous accueille si bien et y absorber, au passage, pour digérer la charbonnade et, surtout, les finances du club, un petit remontant.
Une poire Williams que Louis XI avait réclamée pour le guérir sur son lit de mort ?
Jean-Pierre Meylan
Plein Champs Puplinge