Forum GSHC

Frédéric Lovis a écrit :Lugano et GE Servette vont ainsi s’affronter en play-off pour la deuxième fois de leur histoire. La première, c’était la saison passée. Elle avait sourit aux Genevois (4-1 dans la série). La différence? Les Pettersson, Klasen, Brunner et autres… Simek ne garnissaient pas encore l’offensive de Patrick Fischer

Bah si, Pettersson était déjà là. On se souvient notamment de ses magnifiques pénalties à la Poudrier lors du dernier match.

Et accessoirement, pour jouer le grammar nazi :

Frédéric Lovis a écrit :Tandis que ses ex-coéquipiers préparent leur déplacement à Davos pour y disputer la Coupe Spengler, il pacte les siennes direction Turku.

1. Lovis nous invente le verbe pacter (paquette, peut-être ?)
2. Si quelqu'un arrive à me retrouver l'antécédent de "les siennes"… Les trois saisons et demie passées à GS ? Ou est-ce un euphémisme pour une partie intime du corps de Juju, genre "on se les gèle" ?

Captain Iglo a écrit :

Frédéric Lovis a écrit :Tandis que ses ex-coéquipiers préparent leur déplacement à Davos pour y disputer la Coupe Spengler, il pacte les siennes direction Turku.

1. Lovis nous invente le verbe pacter (paquette, peut-être ?)
2. Si quelqu'un arrive à me retrouver l'antécédent de "les siennes"… Les trois saisons et demie passées à GS ? Ou est-ce un euphémisme pour une partie intime du corps de Juju, genre "on se les gèle" ?

Belle trouvaille ! Grand moment de littérature ce truc

Je me lance :
- il "pacse" les siennes ? Du verbe pacser = s'unir par un PAC'S. Non, rien à voir avec le contexte.
- il "pacte" les siennes ? De la contraction de (em)paqueter ? Pourquoi pas ? Mais pourquoi "les siennes" effectivement ? Les burnes ? Ouais, mais ça a quoi à voir avec le déplacement à Davos ? Je vois pas... Impossible !

Bon, en même temps, s'agissant d'antécédent, le Lovis il en a à la pelle !

Non, plus j'y réfléchis plus je me dis qu'il faut remplacer "déplacement à" par "valise(s) pour" et le compte est bon...

C'est du lourd là, ça vaut au moins le Champignac d'Or (catégorie "antécédents douteux"). Non ?

C'est peut-être une expression québécoise.

« Quand Jean-Félix a perdu sa job à Rimouski, y a ben dû pacter les siennes pour Chicoutimi. »

Je suis fan de l'interview de McSo dans la Tribune du jour. Entre les questions à peines répétitives de l'un ("la meilleure équipe qu'il a jamais eue", les arbitres) et les réponses à peine ironiques de l'autre, je me suis beaucoup amusé

Virgulator dans la Tdg du jour a écrit :(...) Ou alors une fois, en championnat, après qu’il eut lancé de rage sa canne sur Benjamin Plüss sur la glace de la BCF Arena de Fribourg…

En l'occurrence sa canne passe au moins un bon mètre à côté dudit Plüss, faut vraiment arrêter les c*nneries avec cette histoire... Sauf si évidemment on se base sur les photo-montages pathétiques de la Liberté...

Et puis dans la catégorie jeux de mots grotesques....

Si les Tessinois espèrent que le substitut de Mayer ne vaut pas des clous, aux Vernets on pense au contraire que Gauthier peut tous les rendre marteau!

...

Sinon, c'est à relever, sympa de la part de Virgulator de relayer votre action!!

Et toujours selon Maillard, c'était Fedulov qui gardait la cage genevoise samedi à Lugano...

Lovis dans Le Matin a écrit :C’était sur mon chemin», sourit un homme auquel Chris McSorley n’a jamais fait confiance – une seule titularisation en sept ans! Visiblement, le souriant Federico Tamo ne lui en tient pas rigueur.

Il ne lui en tient certainement pas rigueur parce que lui-même était conscient de ne pas avoir le niveau. Mais après en avoir fait sa première page à l'époque, Le Matin ne semble pas prêt à le comprendre.

Pour info, Tamo a arrêté le hockey car il n'était que ... 3ème gardien à Bellinzone. Etonnant que McSorley ne lui ait jamais fait confiance !

Lurati dans la Tribune a écrit :Daniel Manzato ne s’en cache pas: en côtoyant au quotidien les stars suédoises Fredrik Pettersson et Niklas Klasen, c’est tout bénéfice.

Voilà pourquoi Klasen peut jouer 50 minutes par match sans être fatigué : parce que c'est son frère qui est envoyé à l'entrainement !

Bon encore un article écrit avec les pieds (et je reste poli) de Maillard. C'est toujours aussi horrible/pénible à lire. J'ai une petit dédicace pour ceux qui adore les phrases toutes faites et resservies à l'envie:

Virgulator dans la TdG du jour a écrit :Lors des play-off (...) le quatrième point est toujours le plus difficile à obtenir.

Sinon plus bas dans l'article on apprend, selon McSo (bluff ou pas) qu'apparemment Mårtensson ne viendra pas chez nous.

Virgulator a écrit :Douze mois après avoir éliminé le même adversaire à ce stade de la compétition, les hommes de Chris McSorley risquent bien de retrouver à nouveau les Zurich Lions au prochain tour. A moins que ne soit encore Berne, leur autre bête noire qui les a à chaque fois battus cette saison.

Raté, on ne peut pas tomber contre Berne en demies.

Virgulator a écrit :Peu importe finalement: pour devenir champion, l’Aigle devra de toute manière battre tout le monde.

ARRRRRGGGGGHHHHH

Interview de D'Agostini sur lematin.ch a écrit :Matt D'Agostini, comment vous sentez-vous après cette qualification pour la demi-finale?

Affreusement mal. Je comptais rentrer tranquillement chez moi en vacances et voilà pas qu'il va encore falloir qu'on se tape au moins 4 matchs. Franchement, je suis dépité.

Est-ce une surprise, à vos yeux, d'avoir pu battre cette équipe en six matches?

Absolument. Avec l'équipe de tocards que l'on a, jamais je n'aurais pensé que nous aurions la moindre chance.

Vous marquez un doublé mardi à la Resega et un autre ce soir lors de ce 6e acte. Votre contribution pour ramener le momentum dans les rangs de GE Servette a été décisive, n'est-ce pas?

Je ne vois pas en quoi ma contribution est décisive, non.

Vous battez Lugano sans Kevin Romy et Matthew Lombardi, deux de vos meilleurs atouts offensifs. Cela rend-il votre performance encore plus belle?

Peut-être ben qu'oui. Peut-être ben qu'non.

Un mot encore sur le coaching de Chris McSorley?

Il m'emmerde.

#StopAuxQuestionsBateau

Goran McKim a écrit :

Interview de D'Agostini sur lematin.ch a écrit :Matt D'Agostini, comment vous sentez-vous après cette qualification pour la demi-finale?

Affreusement mal. Je comptais rentrer tranquillement chez moi en vacances et voilà pas qu'il va encore falloir qu'on se tape au moins 4 matchs. Franchement, je suis dépité.

Est-ce une surprise, à vos yeux, d'avoir pu battre cette équipe en six matches?

Absolument. Avec l'équipe de tocards que l'on a, jamais je n'aurais pensé que nous aurions la moindre chance.

Vous marquez un doublé mardi à la Resega et un autre ce soir lors de ce 6e acte. Votre contribution pour ramener le momentum dans les rangs de GE Servette a été décisive, n'est-ce pas?

Je ne vois pas en quoi ma contribution est décisive, non.

Vous battez Lugano sans Kevin Romy et Matthew Lombardi, deux de vos meilleurs atouts offensifs. Cela rend-il votre performance encore plus belle?

Peut-être ben qu'oui. Peut-être ben qu'non.

Un mot encore sur le coaching de Chris McSorley?

Il m'emmerde.

#StopAuxQuestionsBateau

Tellement ça !

Surdez dans la TdG a écrit :En 2008, les supporters grenat n’ont pas oublié la finale et ce match No 5 aux Vernets quand le speaker de l’époque avait crié victoire trop tôt et incité le public à lancer une ola à une minute de la fin. Une vague scélérate en fait puisque Zurich égalisait par Domenichelli à quelques secondes de la sirène finale et passait ensuite l’épaule aux tirs au but (à nouveau Domenichelli). Au lieu de 3-2 dans la série, c’était 2-3. Genève ne s’en remettra jamais et laissera échapper son premier titre national lors du match suivant au Hallenstadion.

Domenichelli... C'était presque ça.

En fait, c'était Pittis. Il n'y avait pourtant qu'un nom à vérifier.

Accessoirement, je rêve où la TdG a réussi à oublier de faire une comparaison des deux attaques dans son paragraphe sur les contingents?

Goran McKim a écrit :

Surdez dans la TdG a écrit :En 2008, les supporters grenat n’ont pas oublié la finale et ce match No 5 aux Vernets quand le speaker de l’époque avait crié victoire trop tôt et incité le public à lancer une ola à une minute de la fin. Une vague scélérate en fait puisque Zurich égalisait par Domenichelli à quelques secondes de la sirène finale et passait ensuite l’épaule aux tirs au but (à nouveau Domenichelli). Au lieu de 3-2 dans la série, c’était 2-3. Genève ne s’en remettra jamais et laissera échapper son premier titre national lors du match suivant au Hallenstadion.

Domenichelli... C'était presque ça.

En fait, c'était Pittis. Il n'y avait pourtant qu'un nom à vérifier.

Rhô, c'était un rital, quoi. Pinaille pas.

Erreur d'autant plus intéressante que Domenichelli n'a porté le maillot zurichois que lors de la série de playout contre Fribourg en 2006. Il fallait s'en souvenir.