plouf a écrit : ↑mer. 22 août 2018 22:36
Cole a écrit : ↑mer. 22 août 2018 17:44
Comme se positionner sur Corvi ou Hofmann ?
CCR a écrit :
Honnêtement je ne vois pas du tout un Hoffman ou un Corvi venir s'enterrer à Genève.. même dans mes rêves les plus fous...
Un peu comme Pestoni qui devait préférer venir se relancer à Genève plutôt qu’à Davos.
Ou Loeffel qui devait rester à Genève avec un salaire inférieur de 30% pour le jet d’eau sans les palmiers....
J'ai pas souvenir d'avoir lu ici quelqu'un prétendre que Genève était plus compétitif sportivement que Lugano, ou qu'il était anormal pour un professionnel de faire le choix du long contrat lucratif. Le départ de Loeffel relève d'une certaine logique. Son remplacement par un joueur de
LNB, nettement moins. Mais c'est un autre sujet.
Le cas de Pestoni est un peu différent par contre, puisqu'il a signé pour une bouchée de pain dans un club qui ne devrait pas - à notre instar - jouer le titre à court terme. Il s'agit en plus d'un joueur latin (plus facile à apater que le bourbine) dont on rêvait depuis notre première Spengler. Incomparable avec le cas de Loeffel, à tous les niveaux donc.
CCR a raison par contre, dans l'état actuel des choses, t'aurais l'impression qu'un "top joueur" viendrait s'enterrer à Genève. C'est pas une fatalité par contre, ça peut tourner extrêmement vite à l'image de ce qui est arrivé au LHC qui rejoint le groupe des clubs en mains de mega millionnaires quand pas milliardaires, du championnat. Ou alors tu te reconstruis à la régulière et ça prendra des années... à partir de la livraison de la nouvelle patinoire.
Je l'ai dit, je le redis: les choses sont telles qu'elles sont. Par contre ne prétendons pas que c'est la fête du slip parce qu'on retrouve une équipe de 8-9ème place qui met des grosses boites dans les bandes. La vérité c'est que ça fait chier parce qu'on a pris goût à autre chose, et que parmi ceux qui aujourd'hui semblent se réjouir de ce "retour aux sources", les 90% viendront pleurer en novembre si/quand il s'avère qu'on vient de revenir 10 ans en arrière pendant que la compétition, elle, accélère toujours.