C'est pas tant une question de marge comptable, c'est plutôt le fait que je crois qu'on est capable, une fois la vague de blessures résorbée et White sur la glace, de ne pas tourner à moins de points que Lausanne sur les 20 derniers matchs.Le Portier a écrit :hier, certaines personnes sur ce forum disaient qu'avec 7 points d'avance sur la barre mais avec 2 matchs de plus ce n'était pas grave et qu'on avait de la marge, que disent-ils aujourd'hui avec toujours 2 matchs d'avance et que 4 points d'avance ?
Si avec une équipe en relative santé on est pas capable de finir le derniers tiers de championnat aussi fort que Lausanne alors je me serai trompé. Quelque chose me dit d'ailleurs que ça serait suffisament grave pour que des changements sérieux s'opérent au club.
Fort de cette convinction qu'on fera pas pire que le néopromu (c'est de l'optimisme béat je sais), et imaginant que vu le classement il y a peu de chance qu'on puisse jouer Berne en quart, je me dis qu'on sait pas encore quelle sera la "bonne" place à laquelle finir.
Je comprends la frustration par rapport au jeu proposé, l'inconstance (même si les blessures nous ont clairement coupées dans un bon elan), le fait qu'on voudrait avoir des émotions toute l'année etc, après tout c'est la même chose du coté de Berne ou le publique en a marre de se faire chier en saison régulière visiblement. Je pense quand même que sans trop de blessures on a tout ce qu'il faut pour bien finir le championnat et surtout faire de bons play-off dans la foulée. Avec une équipe qui semble quand même assez bien taillée pour ça. Et si ces play-off sont bons, qui ici reviendra nous parler de notre saison régulière moyenne ? Personne. Ou Goran dans un soucis de débat construit, mais il sera ignoré comme il l'a été l'été passé après que notre équipe ait fait le taff contre Berne parce que les gens étaient plutôt satisfait et n'avaient donc plus envie de débatre.
Je suis d'accord avec un paquet de points négatifs qui sont soulevés ici, vraiment, mais la raison pour laquelle je cède pas à la sinistrose c'est parce que je pense que rien n'est joué, tout est à venir pour le meilleur et pour le pire, et que à tort ou à raison je l'appréhende de façon pas trop pessimiste.